La Isleta del Moro 1989, Bernard Plossu

J’ai retrouvé l’enfance et ses inventions cocasses et les sommeils de plante et les réveils rapides qui apportent de la fièvre et de l’énigme… Il ne faut pas négliger la nuit qui nous habite et qui, comme la mer, cache des monstres et des luttes inconnues.
L’Enfant des ténèbres, p. 40