Tsho Rolpa-Turin 2001, peinture et photographie, © Georges Rousse

Il faut la raison d’un seul, parfois, pour refaire le long chemin qui les relie, guider notre sommeil vers ces zones sombres, ces temps morts où fermente l’imagination, pour révéler à la lumière soudain leur forme invisible, là quelque chose de si et du monde attend..
Nous nous connaissons déjà, p. 288